L’une avait été proche pendant mon adolescence. J’ai rencontré l’autre alors que je devenais une adulte. Deux pertes. Pour moi, pour les gens que j’aime, pour les gens qui les aimaient.
mardi 22 janvier 2008
Brutales
L’une avait été proche pendant mon adolescence. J’ai rencontré l’autre alors que je devenais une adulte. Deux pertes. Pour moi, pour les gens que j’aime, pour les gens qui les aimaient.
mardi 15 janvier 2008
Georges et les secrets de l'univers
Ces vacances-ci, j’avais pris la résolution de lire Une brève histoire de temps de Stephen Hawking (je n’ai pas encore abonné, quand même), mais j’ai vu en libraire que ce brillant scientifique avait écrit en collaboration avec sa fille, Lucy, un roman pour ado, Georges et les secrets de l'univers. Livre que je me suis empressée de lire.
Outre le fait que le bouquin est plutôt chouette à lire, j’apprécie particulièrement cette démarche. Le fait qu’un physicien de cette envergure prenne le temps de vulgariser ses propos pour les rendre accessibles à tous mérite largement d’être souligné. Loin de l’élitisme des milieux universitaires, il nous emmène au cœur de l’univers entre les trous noirs (dont on peut sortir après y avoir été aspiré), la ceinture de saturne et ses nombreuses lunes… Une excellente façon de se replonger dans la cosmologie sans se prendre la tête.
samedi 12 janvier 2008
Dimanche, 7h du matin
Nous sommes rentrés de Nouvelle-Zélande ce vendredi. Dans les choses qui m’ont marquée depuis le retour :
- 2 * 12 heures en avion (Auckland/HongKong, puis Hongkong/London), ça ne fait pas aimer les gens.
- C’est dur de passer de l’été même d’un climat maritime à l’hiver en moins de 36 heures.
- Coïncidence plutôt malheureuse, le jour de notre retour, nous avons appris le décès de Sir Edmund Hillary. Néo-zélandais de son état, il était le premier homme à avoir atteint le sommet l’Everest. A Dunedin, nous avons eu l’occasion de visiter The Hall of Fame, sorte d’exposition qui retrace les grands exploits sportifs des Kiwis. Ce qui nous a permis de réaliser à quel point ces vedettes issues de l’autre côté de la planète nous sont inconnues. Comme quoi, même à l’heure d’aujourd’hui où nous avons accès à des informations des quatre coins du monde, la presse reste quand même principalement locale.
- Le décalage horaire, ça tue (on est dimanche, je suis réveillée depuis 5h du matin).
- La politique belge n’a pas vraiment changé depuis 3 semaines.
- Décidément, sur un plan purement journalistique, Nicolas Sarkozy est vraiment très intéressant.
vendredi 11 janvier 2008
I do speak (Post-NZ*)

Les langues sont plus faciles à apprendre pour certains que pour d’autres. Mais avec ce voyage, je me suis rappelée à quel point communiquer dans une langue que l’on ne maîtrise pas peut être une source de frustration. Se sentir nul de ne pas être compris et de ne pas comprendre, devenir extrêmement susceptible quand l’autre ne fait aucun effort, être ridicule parce qu’on a compris le contraire ou parce qu’on redemande plusieurs fois les informations, etc.
Plus que jamais, je suis persuadée qu’apprendre les langues, c’est ouvrir son esprit à une autre manière de penser. L’humilité, la patience, l’envie d’apprendre, d’aller vers l’autre restent indispensables. Et ce, quelle que soit la langue.
Post-NZ*: Billet écrit en Nouvelle-Zélande, mais posté à mon retour.
Les Sounds (Post-NZ*)

Je ne le dirai jamais assez: la Nouvelle-Zélande est un pays magnifique. Des paysages à tomber par terre, un respect pour la faune et la flore évident, des habitants accueillants et chaleureux. Devant tant de beauté, les mots ne sont pas toujours suffisants, surtout quand il s’agit de décrire les Doubtful Sound.


Post-NZ*: Billet écrit en Nouvelle-Zélande, mais posté à mon retour.
L’humour kiwi (Post-NZ*)
En parlant de l’humour kiwi, il est vraiment à tomber par terre. Entre les “Look out, Ice” transformé entre “look out, Mice” ou ce panneau routier photographié entre la ville de Gore et celle de Clinton, il y a cette manière d’annoncer les choses. Un petit exemple, juste pour la route, un des chauffeurs du car près des Doutbful Sound était en train de pousser une charrette pleine de bagages au milieu des touristes tout en criant: “Take care, I’m driving this the first time of my life...”

Post-NZ*: Billet écrit en Nouvelle-Zélande, mais posté à mon retour. Internet n'est peut-être pas si répandu finalement.
vendredi 4 janvier 2008
The Road 6
Les kiwis n’hésitent pas à mettre en valeur ce patrimoine naturel, mais ce n’est jamais au dépend de l’environnement. La route 6 allant de Punakaiki à Queenstown, l’une des plus belles du monde, sillonne véritablement The Southern Alps. Vu la largueur de la route, il est plutôt dangereux de s’y arrêter. Mais lorsqu’il y a un point de vue intéressant, les néo-zélandais ont souvent prévu un petit parking sur le côté, des indications et des sentiers pour se rendre à pied à des cascades magnifiques ou à des points d’eau turquoise.

Autre point, la sécurité. Si la Nouvelle-Zélande s’est fait remarquée pour ses activités à sensations fortes (le Bungy, le Sky-dive, le Rafting ou encore le saut en parachute), le pays a néanmoins un taux très faible d’accident. Il semble clair que si les kiwis ont véritablement une fascination pour l’extrème, ils n’en sont pas pour autant devenus inconscients.
mercredi 2 janvier 2008
The Pancake Rocks

Il y a beaucoup de petits snacks et de bars un peu partout. Le service y est toutefois un peu particulier, sans être forcèment efficace. Le client prend ce qu’il désire sur tout le long d’un comptoir dans des vitrines tantôt chaudes, tantôt froides. Une fois devant la caisse, il peut commander en plus un plat préparé, comme par exemple, un Steak Hamburger. Il reçoit alors un numéro qu’il doit poser sur sa table. Quand le plat est prêt, un serveur cherche dans la salle le numéro que le client a reçu et depose devant ce dernier ce qu’il a commandé. Pour peu que la salle soit grande, autant dire que le serveur peut mettre un certain temps avant de trouver devant qui il doit déposer l’assiette.
À noter que si nous avons des “Point Chaud” chez nous en Belgique, en Nouvelle-Zélande, il y a les “Subway”. Ce n’est pas encore le McDonald’s (présent lui aussi sur l’île, mais en nombre restreint), puisque ce sont surtout des sandwiches avec crudités qui y sont vendus, mais on n’en est pas très loin.
Dernière chose, si la vie dans l’ensemble est un peu moins chère ici (merci l’Euro fort !), les snacks n’hésitent pas à demander 15% de plus les jours fériés. En tant que vacancière, je ne suis pas forcèment heureuse de payer plus, mais la démarche me paraît plutôt cohérente.
mardi 1 janvier 2008
Kaiteriteri

Kaiteriteri est avant-tout une baie magnifique qui borde la Abel Asman National Reserve. Par bateau uniquement il est possible de quittier cette foule de touristes et de rejoindre les différentes petites criques dans la réserve même, chacune de ces plages étant plus paradisiaque que la précédente.
Sur les plages, aucune poubelle mais aucun déchet non plus. Les néo-zélandais sont définitivement plus respectueux de la nature que nous. Dans la réserve, des petits chemins bien tracés longent la côte, nous faisant découvrir une végétation verdoyante.