Comme vous avez pu le remarquer, il a fait beau ce week-end. Comme beaucoup de gens, je crois, mon amoureux et moi-même, nous nous sommes occupé du jardin. Nettoyer la haie, désherber le potager, tondre la pelouse... (Vous commencez à voir où je veux en venir ?). Comme vous l’avez aussi certainement remarqué, nous venons de vivre une succession de jours ensoleillés et de jours de pluie, un parfait cocktail pour que l’herbe pousse plus vite que son ombre. Et c’était la première fois qu’on passait la tondeuse, autant dire que je me suis retrouvée à devoir vider le bac tous les 15 mètres (et je n’exagère même pas !). D’où j’ai rappelé à mon amoureux ce conseil de Luc Noël, ce qui nous aurait permis d'économiser de l’énergie (de l'huile de coude et de l'essence) et de poser un acte en faveur de l’environnement. Mais voilà, il ne m’a pas crue et m’a affirmé que la biodiversité, cela se faisait dans les réserves naturelles et sous contrôle… Bref, je lui ai laissé tondre le dernier quart de la pelouse.
Voilà comment je me suis disputée à cause de Luc Noël. Depuis, pour Luc Noël, je n’ai qu’un mot: merci!
2 commentaires:
Bon alors d'abord je t'ai crue, nondidju ! :-)
Ensuite je serais ravi de laisser un bout de jardin en friche, mais au milieu d'autres jardins entretenus, c'est un coup à nous amener la police en 2 mois. Le jour où on a une ferme, pas de souci. Moi non plus j'aime pas tondre !
Par respect pour la biodiversité, il me semble qu'il faudrait protéger et enfermer dans la réserve naturelle et sous contrôle un drôle d'animal.
Le gazon se tond et la pelouse se fauche deux fois par an; elle est donc entretenue.
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